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Des premiers outils à l’automatisme industriel

Publi du jeudi 1 novembre 2012
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Esprit d’invention et de combinaison

Si l’homme a pu inventer les premiers outils indispensables à son industrie, puis perfectionner cette industrie, la conduire jusqu’au point où elle est parvenue à l’heure actuelle dans les milieux tout à fait civilisés, c’est qu’il disposait d’un facteur naturel précieux: l’esprit d’invention et de combinaison. Un sociologue d’un grand mérite, aujourd’hui disparu, M. Tarde, a insisté avec raison sur ce que la première cause de la richesse, comme il dit, c’est l’invention, la richesse devant être entendue ici au sens des biens qui sont susceptibles de satisfaire nos besoins matériels.

Il est à coup sûr bien difficile de saisir par l’observation directe, ou même par des documents historiques très anciens et quelque peu sûrs, les lointaines origines de l’industrie, les premières manifestations du travail humain. C’était l’observation – très juste – que faisait un homme trop peu connu pour ses mérites, M. Paul Guiraud, dans une étude sur la main-d’oeuvre industrielle dans l’ancienne Grèce, étude à laquelle il est besoin de se reporter bien souvent, quand on veut étudier les phénomènes industriels. Eschyle nous rappelle bien un temps où les hommes ne savaient pas employer la brique, ni le bois, pour construire les maisons, où ils habitaient sous terre comme des fourmis ; mais dans les siècles les plus reculés dont nous ayons quelques notions historiques, les premières populations de la Grèce étaient déjà sorties depuis longtemps de cet état de sauvagerie.
L’introduction de la machine et du métier, autrement dit de la fabrication mécanique, ne s’est évidemment pas faite avec une brusquerie déconcertante dans l’industrie : elle a été préparée par certaines modifications timides, quelquefois à assez longue distance, et qui, sans laisser présager aux contemporains l’évolution, la révolution qui allait se produire, nous permettent, à nous, de mieux comprendre les antécédents de cette transformation profonde.

A l’opposé de la sauvagerie, l’automatisme

L’automatisme est présent dans la sidérurgie, la métallurgie, la chimie, l’automobile et l’agro-alimentaire entre autre.
Il intervient à des niveaux variés tels que l’amélioration et la mise aux normes de l’outil de travail, la maîtrise de la chaîne d’acquisition, la vidéo surveillance, le contrôle d’accès etc…

En matière d’électricité industrielle, les variateurs programmables permettent dans de nombreux cas, de remplacer un ensemble variateur automate (ou variateur carte d’axe) pour offrir des solutions compactes et intégrées.
L’automatisation des chaînes de montage et de production selon vos besoins en stations locales et autonomes peuvent être connectées entre elles comme avec un superviseur permettant ainsi une remontée des données du procédé jusque dans les bureaux administratifs et connaître en temps réel l’avancement de la production, l’état des stock, la maintenance en cours…

Supervision

Pour assurer l’interface entre les opérateurs et le procédé, les supervisions peuvent aller de la plus simple (quelques dizaines d’entrées—sorties avec Visual Basic) à la plus compliquée (quelques milliers d’entrées – sorties avec INTOUCH)
On est bien loin du stade de la fourmi (laquelle n’a pas appris VB) non ? 😉


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