Lorsque l’on sait qu’une seule lettre, un seul signe ou une simple ponctuation peut changer la base linguistique d’un programme, il est judicieux de s’appuyer sur les outils de tests de logiciels appropriés afin d’éviter toute complication onéreuse. Une des premières solutions touche les tests sur le code source en lui-même, que ce soit du Java, du C ou C++, ou tout autre langage informatique. Mais de manière plus générale, on peut classifier les outils de tests fonctionnels selon deux grandes familles : les tests fonctionnels et les tests structurels.
Les outils de tests fonctionnels (ou Black Box Testing)
Ils se fondent sur l’étude des propriétés de l’ensemble ou d’une partie du logiciel, sans prendre en considération sa programmation en tant que telle. L’automatisation des tests permet d’estimer les réflexes du logiciel selon des astreintes spécifiques et des données caractéristiques préétablies dans un cahier des charges. Le programme est testé sur ce qu’il est supposé faire, a contrario de ce qu’il exécute effectivement. Cette étape intéresse les interfaces utilisateurs, mais aussi les API, la sécurité, la gestion des exigences des bases de données, ou le réseau. Le résultat est un assortiment d’actions testées.
Les outils de tests structurels (ou White Box Testing)
L’outil de test logiciel évalue ici ce que le programme réalise. Les tests structurels viennent compléter les tests fonctionnels en validant les unités composantes du logiciel. Par la même occasion ils attestent que l’ensemble du programme a été éprouvé selon les normes édictées pour sa bonne utilisation et sa maintenance.
De nombreux procédés ont été inventés pour réduire ce type de dangers dans la programmation et contrôler la conformité du logiciel ou son aptitude à réagir face à une charge d’activité croissante. Avant que le produit soit mis en vente sur le marché, ces multitudes de tests sont nécessaires. Le but étant de cibler de façon automatisée les irrégularités et de les rectifier.
